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Tana way of life

Etudier a Ankatso ou privé

Réussir le baccalauréat est un étape difficile mais choisir sa filière est une autre histoire. A Madagascar, les parent sont confronter à un problème plus grave, ou envoyer leurs enfants ? pour les familles riches, c’est simple, mes enfants à l’étranger. Mais pour les familles modestes et pauvres, le problème est majeur. Chacun voudrait bien que leurs enfants deviennent quelqu’un un jour mais comment ? ou les envoyer ? c’est la question qui se pose. Pour ce qui lis cette articles soyer sans craintes, je ne dramatise rien. Moi-même je suis issue d’une famille modeste et je suis l’ainée de la famille. J’ai eu mon diplôme en 2014, série A2, mais j’ai commencé à étudier en 2017 pour des causes financières. Je fais double, je suis un étudiant en science politique dans un institut privé et en psychologie sociale et interculturel a l’université d’Ankatso. Dans ces articles je vais vous montrer quelque inconvénient et avantage d’étudier dans un institut privées ou public. Je vais commencer par l’institut privé. J’étudies dans l’une des instituts de renoms de Madagascar, la seule école de doctorat en science politique. Vous pouvez déjà comprendre que ce n’est pas un institut pour tout le monde, pourtant j’y suis. Ma mère fait tous ce qu’elle a pour nous offrir un meilleur avenir, malgré l’écolage qui coute la peau des fesses, en licence en une année d’étude on peut dépenser jusqu’à 2 000 000 Ar environs.  C’est chère et dure à trouver pour une famille comme le miens. Mais ici nous sommes bien encadrées, les professeurs sont bien qualifiés, on ne connaît pas d’heure de pose. Les profs sont toujours présents et en cas d’absence ils nous laissent un devoir à faire en classe. Nous faisons aussi beaucoup de pratique et assiste souvent à des conférences organisées au seins de l’institut même. L’effectif est super, a peine si on arrive à 70 en premier année et sa diminue par année.

Voilà je crois que j’ai fini de parler de mon institut, parlons maintenant d’Ankatso, l’université d’Antananarivo. Je n’ai jamais étudié dans un établissement public avant d’avoir eu mon diplôme de baccalauréat. Comme je les dis au début, je fais 2 parcours différents dont la psychologie sociales et interculturel a Ankatso. D’abord, je vais vous raconter tout ce qui était pénible, les concours ne commencent qu’en mois de décembre ce qui veut dire environs 2 ou 3 mois après les résultats du baccalauréat, ce qui en fait des vacances pour certains, alors que dans les privées, le concours commence 2 semaines après le résultat du baccalauréat. Si tu réussis le concours tu attends jusqu’en mois de mars avant de commencer, en cas de grève sa peut être reporter plus loin. Je ne parlerais pas non plus de l’effectif, dans la faculté de médecine l’effectif peut aller jusqu’à 3 000 étudiants. Question matière, c’est triste, a peine si on entend un mot au bas fond à cause de la sono qui date de plusieurs années. Puis avant, il y avait toujours des grèves car les étudiants ne recevaient pas leur bourse pour une petite sommes d’environs 20.000 ar/pers. Bref je ne veux pas en rajouter, l’Etat devrait faire plus d’effort, c’est triste de voir ces étudiants faire des sacrifices pour un avenir qui n’est même pas sure. Heureusement il n’y pas que du pire a Ankatso, il y aussi du meilleur. D’abord, on ne paye pas l’écolage, c’est déjà une grande charge enlever pour les parents, puis on a plus de liberté, plus de discipline comme au lycées, pas de tenu, on a le droit de mettre ce que l’on veut mettre, à nous de choisir notre personnalité. Et notre diplôme est toujours assuré pour les embauche.

Voilà j’ai fini, j’espère que je n’en est pas trop mis. Mes excuses si j’ai écrit quelque chose qu’il fallait pas, laisser votre avis en commentaire

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