Le grand sud de Madagascar
Madagascar un pays tellement beau, tellement diversifié tant dans sa culture que dans ses paysages plus beau les uns que les autres. En pensant aux malheurs qui le tracassent, j’ai tellement mal pour mon pays. Sans compter qu’on fait partie des pays les plus pauvres du monde, le grand Sud est dans une situation encore plus précaire qu’est la plupart des malgaches de cette îles. Le continent africain a connu bien des malheurs et le grand sud de Madagascar a aussi eu son lot. Avec la chaleur écrasante, le sol inhospitalier et le peu de denrée, il est difficile de croire que des vies puissent s’épanouir dans ses contrées. Pourtant, la population du Sud est assez conséquente. Bien trop nombreuse pour qu’on se contente de les ignorer ou tout simplement de laisser aux autres le soin de s’en occuper. Mais déjà il faut étendre un peu connaissance. Le grand sud ce n’est pas seulement Toliara ou la région d’Androy. Ce n’est pas uniquement les spots les populaires comme à Morondava et l’allée des Baobabs. En tout cas, la première chose qu’il faut penser à mon avis ce sont les personnes. Oui, dans un pays comme la nôtre, en plein « essor » le capital humain est plus qu’au centre de toutes les attentions. Dans le cas du grand sud je ne pense même pas que l’on encore parler de développement humain. Il suffit de voir les nombreux documentaires qui ont été produite sur le grand sud de Madagascar. Lorsqu’on visionne ces documentaires, on est tellement impressionné par la situation précaire des habitants du grand sud que parfois on se demande si c’est vraiment réel, si c’est dans notre pays que l’on voit ça. De petits garçons tout maigres avec de gros ventre comme pour nous rappeler à quel nous sommes pauvre en tant que pays. Et pourtant même dans ce pays, il y a les plus riches, ceux qui s’en sortent mieux, la classe moyenne et les plus pauvres. Tant de diversité dans un pays aussi pauvre. C’est un triste quand même. Mais que peut-on dire sur le grand sud ? Chaque année des aides internationales par milliards sont données à l’Etat par le biais d’agence gouvernementale à l’exemple de l’USAID, de la JICA, par des ONG ou par des associations dans notre cas la plus active est une association catholique. Pour l’instant c’est ce qui fait vivre la population du grand sud. Avec l’environnement dans lequel ils vivent ce n’est pas toujours facile à supporter. Rappelant que le grand Sud de Madagascar est aride, rendant difficile toute culture. L’eau est une denrée rare et surtout coûte chère. Et quand elle est disponible, elle souvent saumâtre. C’est triste à dire mais c’est lorsqu’on voit la vie de ces gens qu’on se rend vraiment compte du chemin qu’il nous reste à faire. Ce n’est pourtant pas une fatalité. La Rwanda par exemple avait l’image de pays extrêmement pauvre ; avec le stéréotype typique des pays pauvre et africain.
source image: www.madagascar-island.com